Notre dernière chance de voter en faveur de l’abrogation du texte de la réforme des retraites nous a été retirée. La présidente de l’Assemblée Nationale a décidé de rendre irrecevables les amendements permettant cette abrogation. Le Groupe Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires (LIOT) a donc été contraint de retirer sa proposition qui nous aurait permis de maintenir l’âge de départ à la retraite à 62 ans.
Cette manœuvre constitue un véritable déni de démocratie. Je suis très inquiète de cette dérive de la pratique parlementaire.