
Sur invitation d’Eric Breche, président des Écoles du ski français j’ai présenté ce jeudi 20 novembre, lors de leur séance de travail, la mission flash sur l’économie du ski que nous conduisons avec mon collègue Vincent Rolland et pu partager cette belle fête d’anniversaire de l’ESF.
80 ans pour cette institution qui a connu des évolutions au fil des décennies, toujours fidèle aux valeurs du sport, de l’apprentissage, de l’enseignement à la connaissance du milieu montagnard que font vivre les 17 000 moniteurs de l’École du ski français, les célèbres « pulls rouges » qui accueillent chaque saison des millions d’enfants et d’adeptes de la glisse lors de leurs premières traces. Je tiens à féliciter les 400 nouveaux diplômés de la promotion 2024/2025 qui viennent renforcer les rangs des ESF.
Ravie également d’avoir accueilli lors d’une visite à l’Assemblée nationale les directeurs des ESF d’Oz-en-Oisans, d’Auris-en-Oisans, de l’Alpe du Grand Serre et de Vaujany.

Le groupe socialiste et apparentés à l’initiative de Dominique Potier organisait ce jeudi 20 novembre une réunion de travail à l’Assemblée nationale autour de la question du devoir de vigilance aujourd’hui attaquée par la Directive Omnibus votée au parlement européen par une alliance inédite rassemblant les votes de la droite et de l’extrême droite de l’hémicycle.
Cette directive réduit considérablement les exigences de l’Union européenne en matière de responsabilité des entreprises, notamment la directive sur le devoir de vigilance en matière de durabilité des entreprises.
A cette occasion, nous accueillions des députés européens dont Raphael Glucksmann, des représentant de syndicats et d’ONG afin d’échanger nos analyses et retour d’expérience sur la pression à exercer sur le gouvernement dans la perspectives des trilogues.


Entre les séances de discussion budgétaires, j’ai eu, cette semaine, l’occasion de me rendre au Salon de l’Association des Maires de France qui fêtait cette année son centenaire.
Comme à chaque édition, je suis parti à la rencontre des différents acteurs et partenaires des collectivités et j’ai pu participer à des échanges et tables rondes très intéressantes sur les enjeux d’aménagement des territoires, de spécificités montagne, d’énergie, d’eau, de financements, transition et adaptation.




Ce mardi de semaine de Congrès de l’Association des Maires de France, comme chaque année, j’étais ravie d’accueillir les maires et conseillers municipaux de la quatrième circonscription de l’Isère à déjeuner à l’Assemblée nationale.
L’occasion d’une visite du Palais Bourbon et de discussions conviviales sur les sujets d’actualité, mais aussi de recueillir les impressions de nos élus locaux en cette période de discussion budgétaire.
Cette édition du Congrès des Maires marque le terme d’un mandat particulièrement éprouvant pour nombre de nos élus locaux, confrontés aux crises sanitaires et budgétaires qui ont marqué notre pays ces dernières années. Je tiens à rappeler et les remercier pour leur engagement quotidien en faveur de la République de proximité.
Aujourd’hui, beaucoup d’élus sont inquiets des nouvelles coupes budgétaires annoncées dans le projet de loi de finances pour l’année 2026.
Alors que la gestion des collectivités locales est très souvent exemplaires, nous ne pouvons les priver des moyens indispensables à la bonne continuité des services publics du quotidien ni des capacités d’investissement dans une période où les enjeux sociaux comme environnementaux sont prégnants.
Nous continuons à travailler en ce sens.
Merci à toutes et tous pour ce moment de partage.

Nous avons adopté ce jour la « suspension » de la réforme des retraites par 255 voix pour 146 contre et 104 abstentions.
J’ai voté cette suspension dans la continuité de la ligne que nous avons choisi avec mes collègues socialistes et apparentés: être utile aux françaises et aux français, aux plus précaires, aux retraités, aux classes moyennes et populaires, aux malades. J’ai fait ce choix pour tous les Français et notamment pour tous ceux qui se sont mobilisés pendant plusieurs semaines en 2023 en contestant la réforme Borne, permettant ainsi l’intégration des personnes nées au premier trimestre 1965 et des carrières longues.
Nous avons également massivement rejeté le gel des prestations sociales et des retraites voulus par le Gouvernement. La suspension de la réforme des retraites ne sera donc pas financé sur le dos des retraités et des Français les plus vulnérables.
Ce projet de loi de financement de la sécurité sociale doit maintenant aller en débat au Sénat et revenir à l’Assemblée.

Mardi 12 novembre, mon suppléant Guillaume Lissy me représentait au quartier Général Reynies de Varces lors de l’hommage rendu par la ministre des Armées au Sergent Gosselin, du 7eme Bataillon de chasseurs Alpin, mort lors d’une opération en Guyane.
Je tiens à adresser mon soutien et mes condoléances à sa famille, ses amis et ses camarades de corps.
J’étais ce mardi aux côtés des élus, des anciens combattants, élèves, enseignants, chorales, le réveil fontainois et les citoyens venus très nombreux pour se souvenir et rendre hommage aux soldats morts pour la France dans l’horreur de la guerre lors des commémorations du 11 novembre 1918.
Se souvenir c’est aussi refuser la haine et les divisions qui y conduisent.
A Varces, Fontaine et Seyssinet-Pariset, nous célébrions la paix et le rassemblement autour des valeurs de la République. Merci particulièrement à tous les jeunes présents en nombre qui seront demain les passeurs de mémoire.

Après de longues journées de débats en séance publique sur le budget de la sécurité sociale, nous avons adopté la deuxième partie du projet de loi pour pouvoir poursuivre le débat. Sans cette adoption, l’examen s’arrêtait là et le texte initial du gouvernement partait au sénat alors même que nous avons obtenu des avancées, certes insuffisantes à ce stade mais qu’il faut consolider.

Nous avons notamment obtenu :
Ce vote pour n’est pas un vote pour le budget, il est un vote pour la poursuite du débat afin de revenir sur le « musée des horreurs » prévu par le gouvernement car en raison de la loi organique, l’adoption de cette partie « Recettes » est nécessaire pour aller examiner la partie « Dépenses ». Nous devons poursuivre le débat avec exigence et volontarisme.

Très heureuse d’avoir porté la parole de mon groupe sur ce texte pour les femmes et notre société lors de son passage à l’Assemblée nationale le 23 octobre.
Le long chemin législatif de l’introduction de la notion de consentement dans le code pénal français a enfin connu une issue favorable au bout d’un travail intense qui a pris prés de deux ans. Je salue le travail de Marie Charlotte GARIN et Véronique RIOTTON qui ont porté cette évolution juridique et ont permis que ce texte soit adopté à l’unanimité hors les voix du RN.
Ce jeudi 30 octobre, le Sénat a à son tour adopté à l’unanimité les conclusions de la CMP. Il s’agit désormais d’appréhender juridiquement l’ensemble du spectre des violences sexuelles et des viols afin qu’enfin recule dans notre pays l’impunité et la culture du viol.
La commission des affaires économiques dont je suis vice-présidente a auditionné sur le fondement de la Constitution, la candidate pressentie à la direction du groupe La Poste.
Lors de mon intervention, j’ai insisté sur l’incompréhension largement partagée par nos petits commerçants, sur l’accord conclu récemment entre la Poste et le géant chinois TEMU et j’ai aussi rappelé l’importance pour la Poste d’assurer un service public de qualité et de conserver un maillage territorial soutenu en termes d’agences et de disponibilité des agents sur le terrain.
